Clôturé Chien/Dolmen - RUINES < 15 04 2023

Ouvert aux adultes (et à partir de 16 ans avec autorisation parentale)

Ruines… Enchantées, mystérieuses, lieux de jeux enfantins ou d’expériences initiatrices, les ruines proches ou lointaines, antiques ou récentes, fascinent…

Laissez votre imagination les explorer et les investir pour y créer votre histoire.

Les bâtiments pourront être de n’importe quelle nature (château, maison, usine, lieu de culte, etc.), être réels ou imaginaires et se situer n’importe où (et même ailleurs), mais ils doivent être en ruines. Ces ruines doivent constituer le coeur de l’histoire et
non pas être un simple décor. Sombres ou lumineux, tous les univers sont bienvenus.

Après sélection, les textes retenus seront publiés sous forme d’anthologie. L’auteur devra alors s’acquitter d’une petite participation financière pour aider à l’impression de l’ouvrage (prix libre, montant minimum 5€). Il se verra offrir en retour un
exemplaire de l’anthologie.

Sortie prévue : automne 2023

Date de clôture de l’appel à texte : 15 avril 2023

Taille des textes entre 6000 et 30 000 signes, au format texte (Word et assimilés) dans une police lisible (type Arial, Georgia...) en corps 11 ou 12.

Envoyez vos textes par mail (documents attachés) à : ed.chien.dolmen@kmel.bzh

Le Grand Chien Noir (sur un Dolmen) – Éditions, est une maison d’édition associative indépendante dont le propos est de promouvoir la culture du livre et la lecture en milieu rural et de faire connaître des auteurs en marge des circuits littéraires classiques. Auteurs occasionnels, auto-édités, peu diffusés.
Elle promeut plus particulièrement l’édition de textes courts et de poésie sous forme d’anthologies.

44110 Louisfert ― Association n° W441006892 - N° de Siret 915 250 237 00012
Contact et renseignements : ed.chien.dolmen@kmel.bzh

Facebook : Le Grand Chien Noir sur un Dolmen

Dernière édition par Lemmingway le Dim 7 Mai 2023 - 2:00, édité 1 fois

Donc les auteurs sélectionnés ont l'immense privilège de ne rien toucher mais de payer quelque chose pour l'impression. C'est original. ça donne envie de participer 

C'est ce que je fais souvent, en achetant qlq exemplaires à prix réduit de l'anthologie ou de la revue.

Bien des organisateurs ne se privent d'ailleurs pas de nous mettre une pression amicale...

moi aussi, j'achète quelques exemplaires et je les prends en salon. Mais on n'est pas obligés de payer pour l'impression parce que là, c'est en plus. Et ils ne parlent pas de droits d'auteur, mais de "de faire connaître des auteurs en marge des circuits littéraires classiques"
ça fait un peu beaucoup penser au "je ne vous paie pas, mais je vous donne de la visibilité". Euh, non, ça ne donne rien du tout, en fait ^^. Quel secteur d'activité accepterait ça?

Si mon chemin sur sur terre ne devait pas s'interrompre incessamment, je l'aurais fait cet Ig-noble de l'AT ! Ce culot...

ça fait un peu beaucoup penser au "je ne vous paie pas, mais je vous donne de la visibilité". Euh, non, ça ne donne rien du tout, en fait ^^. Quel secteur d'activité accepterait ça?

Ma meilleure amie qui a pour passion le dessin, et fait des commission, a fait exactement le même genre de remarque dans son domaine quand on lui demandait des dessins gratuits sous prétexte de lui donner de la visibilité! ça semble assez courant, et c'est fou!

Je leur ai envoyé une nouvelle et elle a été prise, l'anthologie est sortie même si pour la trouver c'est plus complexe^^.

Après honnêtement, les nouvelles c'est comme les courts métrages, les chances d'en tirer un bénéfice financier sont excessivement réduites. J'ai jamais été payée pour les anthologies... je sais pas si c'est différent pour les revues... j'ai pas l'impression que ça soit le cas. Y'a des concours avec un prix financier mais généralement c'est payé par les participations de tous les auteurs... Notez que certaines revues exigent aussi la prise d'un abonnement ou d'une participation financière. Malheureusement, c'est un truc répandu. Après c'était pas excessif la participation, d'autres fois c'est vraiment prohibitif.

Pour moi l'intérêt, comme avec les courts métrages, c'est pas tant la visibilité que de montrer ce qu'on sait faire et rassurer pour un format long avec la reconnaissance éventuellement obtenue. Dans le cas des nouvelles des prix ou publication alors que les courts ça sera passer dans des festivals et si possible y obtenir des prix.

Par principe, je refuse de participer à un AT s'il faut payer. Je trouve cela antinomique : tu paies pour fournir le matériau... C'est un peu comme les parents d'élèves qui achètent dans les ventes de gâteaux ceux qu'ils ont apporté une heure plus tôt.

Les AT rémunérateurs sont excessivement rare (de tête, à part Lufthunger, et mille saisons je vrois, je n'en vois pas).
Le "salaire" habituel c'est un exemplaire gratuit. Deux quand on a de la chance (ce que lufthunger fait aussi, en plus des 50€ pour la nouvelle !).
La majorité propose une ristourne de 35% sur le prix d'achat (ce qui correspond à la remise libraire, encore faut-il ensuite réussir à les vendre :-P ).
Bref, la nouvelle, coryez-moi : ça ne paie pas. Au contraire, ça coûte. C'est toujours mieux de le savoir du départ.
Le monde du roman semble fonctionner différemment : pas besoin (en théorie ?) d'acheter un stock pour le revendre, droits d'auteurs autres que symboliques (même si faibles)... J'espère un jour avoir l'expérience nécessaire pour vous en parler avec un peu plus de concret !

Certaines anthos issues d'AT fonctionnent de la même façon que les romans (j'en ai eu l'expérience une ou deux fois), avec exemplaires gratuits, mais aussi droits d'auteur (voire parfois à valoir. Si, si. Comme quoi, c'est faisable).

Parce que, d'accord, les anthos, ça se vend moins que les romans, mais la ME les vend au même prix, elle fait la même marge dessus. C'est la moindre des choses que les auteurs touchent leur part, même si c'est très faible (je ne dis pas, ce serait pour une association, une bonne cause...). Alors qu'il semble que beaucoup de ME comptent sur les auteurs participants pour financer leur antho (soit en participation payante, soit parce que les auteurs ne sont pas payés mais vont, la plupart du temps, acheter eux-mêmes quelques exemplaires pour eux, la famille ou en vendre).
Le système est quand même bien discutable. C'est pour ça que je ne fais plus d'AT, sauf vraiment un truc qui me fait vraiment envie

Ah c’est sûr que si on débourse de l’argent faut 1 aimer le thème, 2 être en accord avec la ligne édito de la ME et en avoir envie. Après voilà une petite ME associative ou une revue demandant une petite participation je peux comprendre pour le côté petit qui a plus de difficultés à survivre. Je compte plus le nombre de petites ME que j’ai vu couler à force de vouloir tout faire dans les règles de l’art…