Bon, on s'écarte un peu du sujet initial, par contre...
Quand je disais "à vendre", je ne pensais pas à la vente en librairie, mais à la vente aux éditeurs.
J'avais bien compris ;) Bien pour ça que je disais que, au pire, il y a internet^^
Tu écris donc des histoires (et quelles histoires ! 7 tomes à 220.000 mots, t'es une vraie Victoria Hugo) dont tu sais qu'elles ne seront pas lues, ou alors de manière marginale ? L'écrivain n'existe-t-il pas qu'à travers ses lecteurs ? Ou considères-tu l'écriture comme un plaisir en tant que tel (un plaisir solitaire ^_^) et tu te moques donc éperdument d'être lue ? Tu écris donc des histoires (et quelles histoires ! 7 tomes à 220.000 mots, t'es une vraie Victoria Hugo) dont tu sais qu'elles ne seront pas lues, ou alors de manière marginale ? L'écrivain n'existe-t-il pas qu'à travers ses lecteurs ? Ou considères-tu l'écriture comme un plaisir en tant que tel (un plaisir solitaire ^_^) et tu te moques donc éperdument d'être lue ? Quand je disais "à vendre", je ne pensais pas à la vente en librairie, mais à la vente aux éditeurs.
Juste un aparté, la quantité ne signifie pas la qualité, hein ;) Et puis je n'ai de version définitive pour aucun de ces tomes.
En fait, je ne me reconnais dans aucun de tes postulats. Je n'écris pas parce que ça me plaît. Je suis une faignante par nature, donc je préférerais passer mon temps à lire, jouer aux jeux vidéos, regarder des anime... Écrire, ça demande du temps, de l'énergie, c'est très frustrant et difficile, et en plus on passe pour un extra-terrestre... Sauf que, comme je te le disais, j'ai cette histoire dans la tête, depuis 10 ans. C'est une histoire que j'aurais aimer lire, sauf que personne ne l'a écrite...
Écrire est un moyen pour moi de l'exorciser, tout simplement. Et pour la lire, moi. Et puisque je suis obligée de l'écrire, autant essayer de faire quelque chose de potable, même si c'est pour le garder pour moi ou le poster sur un blog.
Et comme j'aime bien cette histoire, oui, j'aimerais bien être lue, parce que je pense que ça pourra en intéresser quelques uns. Mais je ne suis pas prête à tout pour ça. Si un éditeur me dit qu'il aime cette série, mais que c'est trop long et que je dois amputer le premier tome de 100 000 mots juste pour une raison de taille, je refuserais, tout simplement (s'il me dit que tel ou tel passage est à dégager parce qu'il est nul, là ok, mais à lui de me convaincre). Quant à l'autoédition, ça ne me branche pas, en raison de l'aspect commercial d'une telle démarche.