Oui, merci infiniment, c'est merveilleux de découvrir ces facettes cachées de votre œuvre.
Asdel a écrit:Ah que je suis content de lire ces lignes !
Merci vraiment, Monsieur Jaworski, d'avoir répondu aux questions pertinentes de mes camarades de l'Orée. Vous nous donnez ici de précieux conseils et de belles leçons pour des écrivants !
Je me joins à Svanhilde pour la reconnaissance, Gagner la guerre a été un de mes grands chocs littéraire, et je vous remercie encore pour cela.
Et j'adore vraiment les Roi du monde, j'ai une grande hâte de lire la suite des aventures de Bellovèse.
Asdel a écrit:
Aurons-nous un jour la chance de vous voir écrire dans la Renaissance française et faire vivre quelques aventures à la Te Deum pour un massacre ? Ou même imprégner cette période historique d'un peu de fantasy et de magie ?
Asdel a écrit:
Est-ce que ce diable de Benvenuto, qui vous a hanté quelques années semble-t-il, reviendra un jour avec sa gueule cassée et ses beaux chicots en or ?
J.P.J. a écrit:Oui, Le Chevalier aux épines est toujours un projet d'actualité. Comme j'ai deux lectorats qui ne se recoupent pas tout à fait – celui du Vieux Royaume et celui de Rois du Monde – mon éditeur m'a proposé il y a quelques mois d'interrompre la composition du cycle Rois du Monde après la publication du deuxième volume de Chasse royale pour composer Le Chevalier aux épines. C'est donc probablement ce que je ferai.
J.P.J. a écrit:Le découragement est sans doute l'ennemi le plus fréquent et le plus pernicieux du littérateur. J'ai failli y succomber quand j'avais la vingtaine.
J.P.J. a écrit:La principale raison qui a motivé ces refus, c'est que les nouvelles ne se vendent pas. Les éditeurs rechignent beaucoup à publier des recueils, a fortiori des recueils d'inconnus…
Akram a écrit:
À titre informatif — exclusif ? —, en avez-vous déjà réfléchi la trame ? S'agira-t-il d'une enquête à la sauce roman courtois, à l'instar de Le Service des Dames ?
Akram a écrit:J.P.J. a écrit:Le découragement est sans doute l'ennemi le plus fréquent et le plus pernicieux du littérateur. J'ai failli y succomber quand j'avais la vingtaine.
Quelle fut votre planche de salut, si cela n'est pas trop indiscret ?
Akram a écrit:
Un comble au regard des moult appels à textes pour anthologies qui fleurissent au fil des ans. Quant aux refus que vous avez essuyé — Le conte de Suzelle aussi, vraiment*OO* !? —, c'est à se demander si les éditeurs savent ce qu'ils font. À trop vouloir toucher un public toujours plus large, ils en viennent à perdre de vue que dénicher des voix singulières telle que la vôtre, outre de compter parmi leurs prérogatives, peut s'avérer un pari gagnant et que la multiplicité crée la richesse.
Akram a écrit:Encore merci du temps que vous nous accordez, M. Jaworski
JP Jaworski a écrit:Mais je crois que le plus drôle fut la réponse que j'ai reçue d'un éditeur quatre ans après l'envoi du manuscrit et un an et demi après sa publication…
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