Coucou !
Je m'excuse officiellement devant vous pour le texte tout moisi que j'ai pondu, mais j'avoue : les thèmes ne m'ont pas inspiré !
Voilà, je l'ai dit.... J'ai passé une heure à essayer de trouver quelque chose, mais rien, alors je suis parti en "écriture automatique" :
J'écris une phrase sans savoir quelle sera la suivante...
mais ça ne marche pas souvent (voir jamais
)
L'exercice est effectivement amusant, et je suis épaté par les histoires que vous avez réussi à construire !
Retour "à la louche" de mes impressions, sans analyse :
J'ai choisi Elanor parce qu'il y a tout : l'univers, l'intrigue, la chute... C'est bien écrit, bien amené. Du Elanor, quoi. (même si l'univers était déjà exploré
)
Joe : joli morceau de bravoure. Bien écrit, bien construit. J'avoue que le choix de la fantasy joue en la défaveur de ceux qu'ils l'ont fait, parce que j'accroche moins avec ce genre.
Smiling : Pas très développée mais j'aime bien l'idée du confinement final !
Marc : Tu arrives second dans mon classement. Brrr... j'en frissonne encore... C'est froid, glacial même. L'atmosphère est très puissante.
OOrt : tu as su capturer la substantifique moelle de notre gouvernement, mais c'est trop réaliste pour être de la SF
Gnucki : tout comme pour Joe, j'ai apprécié ta nouvelle mais j'ai du mal avec la fantasy.
Raven : On est dans l'action ! On sent que tu te plais à décrire les personnages, leur transformation... de manière très réussie, du reste. J'ai ressenti un romancière plutôt qu'une nouvelliste dans ton récit.
Barla : Je me suis perdu dans la logique du braconnier... pour qui l'interdiction est un problème, alors qu'il n'en a jamais chassé. J'ai peut-être lu trop vite ?
Lalex : Comme plusieurs, je pense que le fait de renommer les vaisseaux est une petite entorse qui mène au hors-sujet. Et la chute n'en est pas vraiment une.
Laurent : le texte est intéressant, mais il me manquait trop d'éléments pour l'étayer.
En tout cas, vraiment, chapeau bas à tous, en deux heures sur sujet inconnu, voilà des textes forts honorables
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Ils ignoraient que c'était impossible, alors ils l'ont fait.
Mark Twain