The Conversation : Pourrait-on vivre sous terre ?

Sommes-nous prêts à une vie sans verdure ni lumière naturelle, et où la liberté de mouvement est assez relative ? Le biochimiste et auteur de S.-F. Isaac Asimov avait imaginé de telles cités, où notre espèce resterait cloîtrée, loin d’un extérieur perçu comme hostile… Si pour nos descendants de fiction cet environnement est devenu la norme, il mettrait notre mental du XXIe siècle à rude épreuve…

Article intégral.

Mon avis:

Vitamine D: puit de lumière solaire ou gellule et y'a plus de soucis.
Dépression: la maladie existe déjà y compris pour des gens qui ont une piscine extérieure.
Stress: idem, existe déjà avec rien que deux heures de transport en commun.
Hyper vigilance: Un classique depuis 2020.
Maladies chroniques: Existe même si on possède un jardin.
Rythme circadien: Une horloge déjà, pour commencer, c'est utile. De plus, on sait qu'au Moyen Âge les gens se couchaient vers 20H et se relevaient à minuit pour manger un morceau et se recoucher.
Rythme circadien 2: Le journaliste semble avoir oublié que des gens travaillent de nuit.
Température centrale de 36,8 à 37,2: pas de quoi s'affoler.

Le gars qui a pondu cet article ne cite pas Michel Siffre ?

Oui, le Réso, un Québecquois m'en a parlé pour me dire que c'était génial de pouvoir se balader en T Shirt l'hiver grâce à ça.

Puis vivre sous terre permettrait enfin de pouvoir continuer la fête sans être déprimé par le chiant des oiseaux (des descendants de dinosaures) indiquant que le jour se lève et que c'est fini !

l'homme préhistorique a vécu dans des cavernes ? C'est pas sûr (quoique si j'écoute mon instinct primordial je suis plutôt du genre cavernicole)... mais en tout cas s'il veut conquérir d'autres planètes il a intérêt à savoir bien se caler dans son trou. Y a plus qu'à s'entraîner!

Le Réso me rappelle ma première fois à Montréal. Arrivée en fin d'après-midi, froid glacial du cœur de l'hiver. Je me couvre et pars à la conquête de la ville. Je ne croise personne, quasiment pas âme qui vive. Je n'en reviens pas, où sont-ils ? Je marche seul et totalement déconcerté jusqu'à l'engourdissement. Le lendemain quand je raconte mon expérience les gens rigolent, et me parlent de ce réseau qui ne m'a finalement pas plu du tout en raison du monde, de la chaleur, et des boutiques inintéressantes.