Ah ah, alors que moi, rien à faire, je n'accroche pas à Hugo (et c'est amusant, parce que, justement, je trouve une proximité certaine entre Hugo et Tolstoï, même si je préfère le second). Pas faute de l'avoir lu pourtant, et en roman, théâtre et poésie. J'adorerais aimer, les citations de phrases prises indépendamment sont superbes, mais sur la longueur, impossible.
(par contre, Flaubert, c'est Salammbô que j'aime très nettement le moins. Peut-être parce que je l'ai lu dans ma phase réalisme à fond... ou parce que, justement, son style colle mieux à la langueur d'une vie de Bovary qu'à du roman plus historico-aventure, qui fait décalage entre la fond et la forme -à mon goût-, je ne sais pas).
Mais ça, c'et toujours le goût et les couleurs... Tant qu'on ne nie pas les qualités d'une œuvre sous prétexte qu'on ne les aime pas soi-même, tout va bien, on ne peut pas tout aimer
(par contre, Flaubert, c'est Salammbô que j'aime très nettement le moins. Peut-être parce que je l'ai lu dans ma phase réalisme à fond... ou parce que, justement, son style colle mieux à la langueur d'une vie de Bovary qu'à du roman plus historico-aventure, qui fait décalage entre la fond et la forme -à mon goût-, je ne sais pas).
Mais ça, c'et toujours le goût et les couleurs... Tant qu'on ne nie pas les qualités d'une œuvre sous prétexte qu'on ne les aime pas soi-même, tout va bien, on ne peut pas tout aimer