Les critiques divulgachent trop, gépalujuscobou !
Perso, j'en suis à la deuxième partie, et c'est su-per-be-ment écrit, et je ne dis pas cela parce que c'est ton espace, sois-en persuadée. Bon, je suis un homme (il/lui hein) et je remarque que c'est très marqué féminin, c'est indéniable. Alors après, on apprécie ou non, mais il est vrai que c'est autre chose. C'est cet "autre-chose" qui me plaît dans ce genre de livre (très féminin dans sa conception des rapports humains, de l'introspection, du rapport à soi) et qui me fait comprendre un peu qu'on a beau tous avoir deux bras et deux jambes, on n'est pas tous cablés de la même manière, ou bien que les logiciels qu'on installe au fur et à mesure qu'on se met à jour ne sont pas les mêmes. En fait, c'est pas parce qu'on est un homme qu'on doit lire des bouquins de garçon. SI tu te demandes ce que j'entends par féminin, c'est ce grand style qui se dégage d'oeuvres comme Les Déferlantes, l'Amie prodigieuse ou le Passe-miroir, par exemple (gross-modo : une héroïne assez gauche et pas très jolie mais pleine de vie, un style assez contemplatif, une attention aux détails... c'est compliqué de définir un ressenti mais les 3 exemples définissent assez bien le style)
Ce que j'aime, c'est la façon qu'à l'aventure de lentement monter en puissance, et je suis sûr que je ne suis pas au bout de mes surprises.
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Rhino
Nihil Obstat