Cela m'a fait le même effet qu'Umberto Eco et le Pendule de Foucault !
Sérieux? Il faut que je le lise alors.
Pour le coup de foudre côté masculin uniquement, ce n'est pas si surprenant finalement. Jusqu'à l'époque moderne, la femme était objet d'amour et non sujet (enfin, c'est comme ça que les hommes la voyaient, et comme ce sont les écrits masculins qui sont majoritairement restés...). Et à l'époque moderne, eh bien... le coup de foudre, on s'en rend compte dans tous les extraits postés, est d'abord physique. J'ose penser (sans certitude, c'est une supposition) que, par tradition culturelle et inconscient collectif, les hommes vont plus facilement «tomber amoureux» sur un physique alors que les femmes attendront plus de connaître. Pas tous/toutes, et peut-être uniquement dans les histoires, d'ailleurs, mais ça paraît plus «normal» par habitude.