J'avoue que Gunm, je n'ai pas accroché. Peut-être parce que je ne l'ai pas lu ado. Je me souviens cependant des publicités. Dans quoi? des magazines de jeu vidéo peut-être? qui me donnaient envie de le lire à l'époque. Du coup, j'ai acheté l'intégrale (de la première série) d'occasion il y a deux ans et… mouais, bof. Quand je vois tout le bien qu'on en dit, j'en attendais plus (déjà, j'apprécie moyennement la tête du personnage principal, pour une bd, ça n'aide pas ^^). Peut-être est-ce justement à cause de ce que j'en attendais que j'ai été déçue, je ne sais pas (en tout cas, j'en ai parlé avec mon frère qui n'a pas spécialement aimé non plus).
Pour ma part, entre les Jules Verne, j'ai lu du non SFFF, mauvais… mais à un point. Pour l'anecdote, un patient âgé a su que j'écrivais, il m'a pris un livre pour sa femme. Et au RV suivant, il venait avec trois bouquins qu'elle me prêtait. C'était bien gentil… mais pas du tout mon genre (plutôt comédies romantiques, mon Rechingen a dû lui faire un peu drôle ). je me suis forcée à aller au bout, parce quand on me prête un livre, je le lis. Heureusement, ce fut rapide. On dirait des pavés, mais avec un format "petite maison d'édition", ça ferait du 120 pages à tout casser.
Bref, l'un d'eux était écrit par une jeune autrice qui a aussi, semble-t-il écrit un roman fantasy jeunesse. J'espère qu'il est mieux. Sérieusement, outre un style plus que léger, je croyais que les clichés qu'elle a utilisés étaient interdits depuis longtemps (perso, je suis pour la peine de mort pour oser les employer ). Sérieusement: les deux persos qui se retrouvent obligés de dormir à l'hôtel et il ne reste qu'une chambre. Pas zéro, pas deux, une seule, avec un seul lit. Oh, ça alors! Et que dire de la fin… où il faut rattraper celle que le gars réalise soudain qu'il aime vraiment, au dernier moment à l'aéroport. Rien n'est épargné au lecteur .
Les deux premiers livres étaient si vides que, quand j'ai pris le Levy que j'avais laissé pour la fin (sachant que je n'aime pas), je l'ai trouvé vraiment bien écrit .
En somme, je ne sais plus qui disait sur un autre post que le problème de la littérature française actuelle, c'est que ce sont des auteurs stylistes, précieux, mais sans intrigue (Asdel?). Franchement, non, la littérature populaire, les auteurs qui se vendent et sont connus de tous, c'est plutôt tout le contraire. Là, à la fin, j'en étais à rêver d'un styliste aux personnages et à l'intrigue sans profondeur pourvu que ce soit bien écrit
Je me suis donc jetée avec plaisir sur la suite de mes Jules Verne, bien que ce soit loin d'être mon auteur du XIXe favori.
Pour ma part, entre les Jules Verne, j'ai lu du non SFFF, mauvais… mais à un point. Pour l'anecdote, un patient âgé a su que j'écrivais, il m'a pris un livre pour sa femme. Et au RV suivant, il venait avec trois bouquins qu'elle me prêtait. C'était bien gentil… mais pas du tout mon genre (plutôt comédies romantiques, mon Rechingen a dû lui faire un peu drôle ). je me suis forcée à aller au bout, parce quand on me prête un livre, je le lis. Heureusement, ce fut rapide. On dirait des pavés, mais avec un format "petite maison d'édition", ça ferait du 120 pages à tout casser.
Bref, l'un d'eux était écrit par une jeune autrice qui a aussi, semble-t-il écrit un roman fantasy jeunesse. J'espère qu'il est mieux. Sérieusement, outre un style plus que léger, je croyais que les clichés qu'elle a utilisés étaient interdits depuis longtemps (perso, je suis pour la peine de mort pour oser les employer ). Sérieusement: les deux persos qui se retrouvent obligés de dormir à l'hôtel et il ne reste qu'une chambre. Pas zéro, pas deux, une seule, avec un seul lit. Oh, ça alors! Et que dire de la fin… où il faut rattraper celle que le gars réalise soudain qu'il aime vraiment, au dernier moment à l'aéroport. Rien n'est épargné au lecteur .
Les deux premiers livres étaient si vides que, quand j'ai pris le Levy que j'avais laissé pour la fin (sachant que je n'aime pas), je l'ai trouvé vraiment bien écrit .
En somme, je ne sais plus qui disait sur un autre post que le problème de la littérature française actuelle, c'est que ce sont des auteurs stylistes, précieux, mais sans intrigue (Asdel?). Franchement, non, la littérature populaire, les auteurs qui se vendent et sont connus de tous, c'est plutôt tout le contraire. Là, à la fin, j'en étais à rêver d'un styliste aux personnages et à l'intrigue sans profondeur pourvu que ce soit bien écrit
Je me suis donc jetée avec plaisir sur la suite de mes Jules Verne, bien que ce soit loin d'être mon auteur du XIXe favori.